Récemment, j’ai eu la chance de me procurer Stargate Continuum, dont voici le synopsis :
Le dernier clone de Ba’al a été capturé. SG-1 rejoint le général O’neill pour assister à l’extraction du symbiote, mais, durant la cérémonie, les choses tournent mal, tout le monde se met à disparaître. Carter, Mitchell et Jackson se rendent à la stargate, mais quand il l’a franchisse, il se retrouve dans un bateau perdu dans l’arctique. Ba’al a changé le passé, le programme Stargate n’a jamais existé.
Second épisode direct-to DVD, Stargate Continuum nous entraîne dans une histoire de voyage temporel, avec une petit retour des Goa’ulds, très réussi. C’est avec plaisir qu’on retrouve Richard Dean Anderson en Guest Star, mais croyez moi, il ne sera pas le seul : de nombreuses têtes connues feront leur apparition : Du major Davis à Apophis. Mais, ce n’est pas là le seul attrait du métrage ; il s’agit juste d’un petit bonus pour les fans.
L’histoire commence donc pas SG-1 qui se rend à l’extraction du symbiote de Ba’al. On nous donne quelques infos sur la situation, histoire de ne pas perdre trop de temps à se poser des questions. Comme on s’en doute, et comme SG-1 s’en doutait, Ba’al ne va pas partir comme ça ! Il a un plan et tout tourne mal pour nos héros. Les derniers des Grands Maîtres Goa’uld va changer le passé.
Certes, ce n’est pas une nouveauté dans la série. Après 10 saisons, il y a eu quelques épisodes de ce type, même s’ils ne sont pas légion. Mais là, où les scénaristes ont fait fort, c’est qu’il n’ont pas eu recours aux éternelles facilités que la plupart des séries ne cessent d’abuser. Ils prennent le temps de développer l’intrigue, et surtout de ne pas abuser d’artifices qui pourraient gâcher les rebondissements.
Le rythme imposé va donc permettre à l’histoire d’avoir des bases solides. Les voyages temporels, c’est dangereux mais là, le scénariste a bien réfléchi à son coup ! On est donc surpris de constater qu’il y a eu pas mal de travail dans les détails. Le mieux étant ce qui a été fait sur les réactions de chaque protagonistes ; ils sont plus logiques et réfléchis que l’ont aurait pu l’espérer.
Sur le plan technique, on retrouve la qualité déjà présente sur « L’Arche de Vérité », avec en plus des effets spéciaux de meilleure qualité. Franchement, que l’on soit fan ou profane, on ne risque pas de s’ennuyer. Il est clair que le prodo a profité pleinement de son budget pour nous fournir des plans en extérieurs sublimes.
A voir et a revoir !
Le dernier clone de Ba’al a été capturé. SG-1 rejoint le général O’neill pour assister à l’extraction du symbiote, mais, durant la cérémonie, les choses tournent mal, tout le monde se met à disparaître. Carter, Mitchell et Jackson se rendent à la stargate, mais quand il l’a franchisse, il se retrouve dans un bateau perdu dans l’arctique. Ba’al a changé le passé, le programme Stargate n’a jamais existé.
Second épisode direct-to DVD, Stargate Continuum nous entraîne dans une histoire de voyage temporel, avec une petit retour des Goa’ulds, très réussi. C’est avec plaisir qu’on retrouve Richard Dean Anderson en Guest Star, mais croyez moi, il ne sera pas le seul : de nombreuses têtes connues feront leur apparition : Du major Davis à Apophis. Mais, ce n’est pas là le seul attrait du métrage ; il s’agit juste d’un petit bonus pour les fans.
L’histoire commence donc pas SG-1 qui se rend à l’extraction du symbiote de Ba’al. On nous donne quelques infos sur la situation, histoire de ne pas perdre trop de temps à se poser des questions. Comme on s’en doute, et comme SG-1 s’en doutait, Ba’al ne va pas partir comme ça ! Il a un plan et tout tourne mal pour nos héros. Les derniers des Grands Maîtres Goa’uld va changer le passé.
Certes, ce n’est pas une nouveauté dans la série. Après 10 saisons, il y a eu quelques épisodes de ce type, même s’ils ne sont pas légion. Mais là, où les scénaristes ont fait fort, c’est qu’il n’ont pas eu recours aux éternelles facilités que la plupart des séries ne cessent d’abuser. Ils prennent le temps de développer l’intrigue, et surtout de ne pas abuser d’artifices qui pourraient gâcher les rebondissements.
Le rythme imposé va donc permettre à l’histoire d’avoir des bases solides. Les voyages temporels, c’est dangereux mais là, le scénariste a bien réfléchi à son coup ! On est donc surpris de constater qu’il y a eu pas mal de travail dans les détails. Le mieux étant ce qui a été fait sur les réactions de chaque protagonistes ; ils sont plus logiques et réfléchis que l’ont aurait pu l’espérer.
Sur le plan technique, on retrouve la qualité déjà présente sur « L’Arche de Vérité », avec en plus des effets spéciaux de meilleure qualité. Franchement, que l’on soit fan ou profane, on ne risque pas de s’ennuyer. Il est clair que le prodo a profité pleinement de son budget pour nous fournir des plans en extérieurs sublimes.
A voir et a revoir !