C'est avec plaisir que j'ai découvert, il y a quelques jours, que les éditions Librio publiaient quelques nouvelles écrites par Stephen King! Bien entendu, vous me connaissez, je n'ai pas pu m'empêcher de me procurer l'un de ces mystérieux ouvrages. Une chose est sûre, c'est le genre d'histoire à lire avant d'aller se coucher^^
Voici donc ma critique des deux nouvelles proposée.
Nous commencerons donc par:
Le Singe
"Le Singe" nous raconte l'histoire de Hal Shelburn dont les enfants retrouvent un vieux jouet venu de son enfance: un singe qui tape des cymbales. Ce mystérieux jouet l'effraie et fait remonter des souvenirs terrifiants venus tout droit de son enfance. Je ne vous en dirais pas plus, si ce n'est que l'histoire est plutôt plaisante!
Comme c'est presque toujours le cas, King nous place dans une ambiance glauque dès les premières lignes. Et ce, malgré le côté un peu fouillis des trois premières pages. Le récit se déroule d'une manière intelligente, en faisant appel à divers souvenirs tellement bien raconté qu'on s'y croirait.
On y retrouve bien entendu les thèmes chères à cet auteurs tels les difficultés familiales, les souvenirs d'enfances difficiles, etc.
Petit bémol cependant, la fin est ne fut pas assez costaude... pas à mon goût. Mais les goûts et les couleurs...
Malgré cela, ce fut un moment de lecture très intéressant et plutôt bien trouvé. King fait resurgir nos vieilles peurs infantiles, ce qui fait bien plaisir.
A lire donc!
Par contre, j'ai un peu moins apprécié le second récit:
Le Chenal
Le chenal est la langue d'eau qui sépare le continent de l'île du Bouc sur laquelle vit Stella Flanders. Plus vieille habitante de l'île, elle n'a jamais eu besoin de traverser le chenal. Comme elle le dit, tout ce dont elle a besoin se trouve sur l'île, alors pourquoi se rendre sur le continent. Mais à la fin de sa vie, alors que tous ceux qu'elle aimait ont disparu ou presque, elle se rend compte qu'elle voit d'étrange choses.
Ici, point d'atmosphère pesante ni même oppressante. On a plutôt affaire à une sorte de petit conte que l'on peut lire à Noël au coin d'un bon feu!
La première moitié de l'histoire est assez barbante. N'étaient quelques petits événements, il ne se passe pas grand chose. Les mois passent, ne se ressemblent pas,et pourtant, on peine à avancer dans l'histoire.
Fort heureusement, la seconde partie est un peu plus intéressante et on finit par s'attacher à Stella et même à avoir pitié de la pauvre femme. Cependant, il est clair que ce n'est pas ce que King à écrit de mieux. Mais malgré tout, je dirais qu'il faut lire cette nouvelle, ne serait-ce que pour profiter de la magnifique fin de l'histoire qui est émouvante à souhait!
C'est certain, j'essaierai de me procurer d'autres petites nouvelles de l'auteur qui, bien qu'un peu inégal, réussi souvent à nous plonger dans des atmosphères bien comme il faut (du moins pour ce type de récit).
Voici donc ma critique des deux nouvelles proposée.
Nous commencerons donc par:
Le Singe
"Le Singe" nous raconte l'histoire de Hal Shelburn dont les enfants retrouvent un vieux jouet venu de son enfance: un singe qui tape des cymbales. Ce mystérieux jouet l'effraie et fait remonter des souvenirs terrifiants venus tout droit de son enfance. Je ne vous en dirais pas plus, si ce n'est que l'histoire est plutôt plaisante!
Comme c'est presque toujours le cas, King nous place dans une ambiance glauque dès les premières lignes. Et ce, malgré le côté un peu fouillis des trois premières pages. Le récit se déroule d'une manière intelligente, en faisant appel à divers souvenirs tellement bien raconté qu'on s'y croirait.
On y retrouve bien entendu les thèmes chères à cet auteurs tels les difficultés familiales, les souvenirs d'enfances difficiles, etc.
Petit bémol cependant, la fin est ne fut pas assez costaude... pas à mon goût. Mais les goûts et les couleurs...
Malgré cela, ce fut un moment de lecture très intéressant et plutôt bien trouvé. King fait resurgir nos vieilles peurs infantiles, ce qui fait bien plaisir.
A lire donc!
Par contre, j'ai un peu moins apprécié le second récit:
Le Chenal
Le chenal est la langue d'eau qui sépare le continent de l'île du Bouc sur laquelle vit Stella Flanders. Plus vieille habitante de l'île, elle n'a jamais eu besoin de traverser le chenal. Comme elle le dit, tout ce dont elle a besoin se trouve sur l'île, alors pourquoi se rendre sur le continent. Mais à la fin de sa vie, alors que tous ceux qu'elle aimait ont disparu ou presque, elle se rend compte qu'elle voit d'étrange choses.
Ici, point d'atmosphère pesante ni même oppressante. On a plutôt affaire à une sorte de petit conte que l'on peut lire à Noël au coin d'un bon feu!
La première moitié de l'histoire est assez barbante. N'étaient quelques petits événements, il ne se passe pas grand chose. Les mois passent, ne se ressemblent pas,et pourtant, on peine à avancer dans l'histoire.
Fort heureusement, la seconde partie est un peu plus intéressante et on finit par s'attacher à Stella et même à avoir pitié de la pauvre femme. Cependant, il est clair que ce n'est pas ce que King à écrit de mieux. Mais malgré tout, je dirais qu'il faut lire cette nouvelle, ne serait-ce que pour profiter de la magnifique fin de l'histoire qui est émouvante à souhait!
C'est certain, j'essaierai de me procurer d'autres petites nouvelles de l'auteur qui, bien qu'un peu inégal, réussi souvent à nous plonger dans des atmosphères bien comme il faut (du moins pour ce type de récit).