Il y a quelque chose de drôle et surprenant à la lecture de ce post. Justes quelques remarques car je suis loin, très loin, trop loin du niveau global.
Je constate cependant un truc, personne ne travaille avec un ligne, je veut dire quelque chose de construit et ce avec quoi les profs de français me lançaient à la tête "tu n'as pas fait de plan, tu sais qu'il faut un plan pour écrire, t'a rien compris" et paf un 5/20 pour ma pomme...
Et c'est vrai que je ne travaille pas avec un plan littéraire pour le peut que j'écris, mais je conçois l'ensemble plus comme un jeu d'échec, je connait le début et la fin, je présente les pièces avant ou au moment de les bouger, et je sais systématiquement qu'elle coup doit être systématiquement jouer pour arrivé à mes fin.
Et force est de remarqué que je ne suis pas le seul apparemment à ne pas utiliser une structure finie.
Cela, m'entraine dans une approche qui, je viens de le découvrir est presque identique a la scénarisation de BD. comme quoi, je suis peut être plus destiné à cette branche que je ne le pensais. lol
Sinon, quelque remarque concernant la réécriture perpétuel des textes. je fais juste la remarque sur les textes de A.J car c'est ceux que je vois évolué le plus et que je connais le mieux. Sur le plan technique, j'ai remarqué une net modification, je ne peut pas dire évolution. Pourquoi? tout bêtement parce que dans certaine relecture ,et cela Fa je te l'ai déjà fait remarquer, tu perd la force de la simplicité en voulant faire des phrases trop parfaite. Pour moi je trouve que parfois tu privilégie la forme au fond. Ce qui finalement est bien d'un point de vue académique mais dommage pour les actions et le lecteur. Néanmoins depuis le début Heilénia en temps que forum, j'ai remarqué au moins 3 progressions différentes dans tes textes, il suffit je pense, juste de savoir ce fixer sur un style.
Maintenant, je ne suis qu'un modeste lecteur, et je sais le travaille énorme que cela implique, chacun de vos textes représentent un bout de votre âme et de vos sentiments au moment ou la plume touche le papier. Et rien que pour nous permettre de voyager dans notre fauteuil, je vous en remercie de tout cœur.
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