Résultats de la recherche (2534 résultats)

A.J. Crime
27 Juin 2018, 4:25
Ah ouais, pas mal du tout...
A.J. Crime
25 Avril 2018, 3:51
En même temps, il vaut mieux ne pas trop en voir... d'Elric toujours.
A.J. Crime
11 Avril 2018, 11:02
Le Melnibonéen ?


MON HÉROS !
A.J. Crime
03 Avril 2018, 1:38
Et un joyeux anniversaire à notre Crocro ! ;)
A.J. Crime
03 Mars 2018, 5:50
ahahah, voilà qui fête grandement ton retour mon Den ! ;)
A.J. Crime
03 Mars 2018, 5:48
Bienvenue à toi Fred,

Pour la suite de dispé... les critiques destructives seront aussi les bienvenues... :)

Bonne route vers Heilénia, il y a de quoi découvrir.
A.J. Crime
28 Février 2018, 7:04
Salut crocro...

Ne t’inquiètes pas, il n'y a pas beaucoup de passage...

Primo-lecteur, c'est bien ça pour la suite de Dispergerum Antecessors... ;)

Les chapitres repris, relus, recorrigés arriveront bientôt (je l'espère) dans le coin caché... ;)

Bienvenue à toi.
A.J. Crime
25 Mai 2017, 9:31
Salut eve,

Content de te revoir ici parmi nous... enfin bon, pas beaucoup d'évolutions sur le fofo... parution effective du tome 2, un recueil l'année dernière "L'horreur, à chaque heure" toujours chez edilivre, et enfin, château d’Écosse a été sélectionné chez un jeune éditeur (Evidence Editions) à compte d'éditeur sous le titre définitif "Le château de Tanna'Saoghal" et est sorti depuis un peu plus d'un mois.

Je continue la promo tous les ans et c'est épuisant. D'autre part, je participe à un cadavre exquis avec le webzine Nouveau Monde en Heroïc fantasy, "Ragnarök" publié sur wattpad... beaucoup de boulot mais pas beaucoup d'écriture ces dernières semaines puisque je me prépare à partir pour trois sans sous les cocotiers, Nouvelle Calédonie pour le boulot.

Avec ça, le fofo est un peu moribond, mais il est toujours en vie.
A.J. Crime
05 Aout 2016, 16:03
C'est clair que la fin part en cacahouètes.
A.J. Crime
30 Mai 2016, 17:34
Les Proctais et les Gorenéens résidaient chacun sur l’un des continents de Nérubius : le Continent des Grandes Terres pour les premiers et le Croissant Fécond pour les seconds. Au cours des âges, les îles volcaniques éparpillées sur les océans et les mers de la planète dissimulèrent leur lot de rois bannis, de dictateurs déchus ou de flibustiers. Elles ne représentèrent jamais des puissances prédominantes, tout au plus des assemblages instables de révolutionnaires et de contestataires qui eurent malgré tout un impact social et quelques réussites stratégiques ponctuelles. J’aborderai plus loin la légende des célèbres Prédangons et du fabuleux Continent Oublié.
Avant de se rassembler sous deux bannières bien distinctes, proctaise et gorenéenne, un nombre indéterminé et fluctuant de royaumes cohabitaient sur les terres émergées. J’estime, et mes pairs abondent en mon sens, qu’il y en avait autant que de familles epitémius séculaires. C’est bien par l’intelligence et le désir de conquêtes que la noblesse epitémius régna sur les classes addhúloanes laborieuses, préférant exploiter par l’esclavage les Sifloiiens.
Les Epitémius imposèrent très vite leur langage commun aux Addhúloans qui conservèrent malgré tout leurs idiomes d’espèce sous la forme de patois. En revanche, la grande majorité des Sifloiiens s’avéra incapable de le maîtriser et cette inaptitude à communiquer les confina à des rôles d’idiots pendant de longs millénaires. Ces petits êtres à la fourrure brune, sans traits distinctifs entre individus, s’avérèrent pourtant des mécaniciens hors pair doués d’une compréhension instinctive du fonctionnement des machines.
Ainsi, malgré des différences flagrantes entre les trois espèces affublées d’intellect de Nérubius, les deux grandes nations réussirent à maintenir une cohésion sociale forte. Bien que marquées par des disparités de caste évidentes, chacune d’entre elles trouva sa place et apporta son expertise à tous les niveaux sociaux pour nourrir cette société riche et dynamique. Aucun des acteurs de la scène nérubienne n’aurait su se passer de l’atypisme des autres. Servis par des capacités neuronales prodigieuses, les epitémius s’affirmèrent dans les domaines politique, stratégique, scientifique et artistique. Ils compensèrent une constitution fragile par une agressivité exacerbée et utilisèrent la nombreuse main d’œuvre offerte par les robustes Addhúloans. La race addhúloane bénéficiait d’un taux de reproduction très élevé, d’une musculature puissante et d’une obéissance servile aux magnifiques Epitémius de l’époque. Ils les servirent sans attendre de retours. Si les Gorenéens reconnurent sur la fin leurs qualités et assouplirent la stricte étanchéité des castes, il n’en fut pas de même pour les Proctais dont la xénophobie guerrière les autorisa à toutes les vicissitudes. Les Sifloiiens se complurent dans un rôle d’esclaves habiles et sacrifiables.


Extrait du volume III des « Mémoires des Nérubiens Errants »
Aux sources d’une société triptyque.
De l’anthropologue Errant Gulfé D’Iverste
(53ième Pars d’Errance)





I



Cité des Technologies Gorenéenne,
Laboratoire du savant Meïdar Réniflius,
Six tantièmes plus tard.



L’Epitémius et savant gorenéen Meïdar Réniflius décrocha des lignes de donnée qui captivaient son attention le millième de lhïndiv précédent. La soudaine introspection de son cerveau hyper-céphale brisa sa concentration. Le savant s’interrogea sur des énigmes plus prosaïques dont les solutions lui échappaient. Il ne mesurait plus le temps passé à ce projet, ne conservait qu’un souvenir éthéré du monde, trop longtemps restreint à ce laboratoire, un quartier d’habitation et quelques couloirs grisâtres, identiques.
La magie lumineuse prêtée aux Myriades ne réchauffait plus son épiderme, n’aveuglait plus ses pupilles étrécies dans l’océan sombre de ses globes oculaires. Les Myriades lui céderaient-elles un peu de pouvoir divin ? Réniflius désespérait de revoir, l’espace d’une boucle, la course folle des nuages anthracite dans le ciel violacé de Nérubius sous une flopée d’étoiles.
L’effort de guerre mobilisait les individualités et focalisait les forces de ceux qui pensaient mériter la vie. Leurs adversaires, les Proctais, possédaient la supériorité numérique et l’écrasante puissance mécanique. De leur côté, eux, les Gorenéens, maîtrisaient la science. Les deux peuples, antagonistes depuis l’antiquité, se partageaient Nérubius. C’était blasphème que d’utiliser toutes leurs capacités de réflexion et de recherche pour tuer d’autres Nérubiens, mais ce sacrifice permettrait à leurs enfants et aux proches aimés de connaître une meilleure destinée.
Le savant Réniflius releva la tête et posa un regard langoureux sur la technicienne qui l’épaulait depuis deux pars. Ils n’appartenaient pas à la même espèce, et même si la guerre n’avait pas battu son plein, les chances de procréation naturelle auraient été infimes bien que cela restât possible. Des amis médics auraient pu donner un espoir d’avenir à leur couple contre nature, si les blessés de guerre n’envahissaient pas les blocs opératoires par vagues toujours plus nombreuses. Meïdar imaginait le bonheur de découvrir l’étalage de qualités que la nature forgerait avec leurs différences.
Une reproduction assistée ne poserait pas de problèmes si la guerre ne détruisait pas ce monde un peu plus à chaque cycle. Le couple doutait d’offrir un avenir à cette descendance qu’il désirait. La femelle aux larges épaules, les yeux rougis par le manque de sommeil, releva le menton fuyant de son terminal de traitement. Elle lui sourit. Sa peau noire rida son visage plein autour des lèvres et des yeux. Les oreilles s’orientèrent vers lui, s’arrondirent au milieu de sa crinière hérissée autour du crâne rond.
– J’aime lorsque tu me regardes comme ça, fit-elle.
– Je le sais et j’en abuse, Talianés.
Le savant Réniflius roula le fauteuil vers l’Addhúloane en s’aidant de ses jambes et de ses bras à quatre articulations. Il plaça son large front, extension du crâne hyper-céphale, au milieu de la chevelure couleur savane, déposa un baiser de ses lèvres laiteuses dans le cou à la peau foncée un peu rugueuse et couverte de duvet brun. De ses bras, Meïdar décrivit plusieurs circonvolutions pour l’encercler et la serrer. Il posa les douze doigts à cinq phalanges sur les trois seins fermes et bien dessinés de sa compagne. Ils se dressèrent instantanément sous la tunique de laboratoire, les hanches souples et maternelles ondulèrent sur le tabouret. Les épaules larges et musclées s’appuyèrent sur le torse maigre du savant. S’il la dominait par la taille, l’Epitémius paraissait fragile à côté d’elle.
Meïdar tenta de l’embrasser, Talianés l’arrêta.
– Est-ce le moment, mon amour ? Il faut que tu décompiles les résultats de cette expérience que l’on vient tout juste de terminer. J’ai mis les suivantes en suspens. Je me trompe peut-être mais je crois que nous avons posé le doigt sur quelque chose. Je viens de t’envoyer le rapport.
– Voyons ça !
Meïdar la garda serrée contre lui et orienta l’un de ses avant-bras à l’aide du pivot de l’articulation médiane pour rappeler le dernier compte-rendu envoyé vers lui et ses collaborateurs. Des séries de chiffres et de lettres défilèrent sur l’écran pendant plusieurs lhïndiv. Le système pileux, court, incolore et imperceptible, se dressa à la surface de l’Epitémius filiforme. Du bord de ses yeux entièrement noirs coulèrent de fines larmes rubis sur les joues à la peau bleu-pâle, presque blanche.


*******


Cent fois, le savant avait visionné le rapport de cette expérience. Dans tous les détails, il avait analysé chaque ligne du code que sa technicienne avait extrait de l’expérience réalisée quelques cycles auparavant. Éclairé par quelques commentaires forts judicieux de ses pairs occupés par des activités aussi indispensables que la sienne, le cerveau excité de Meïdar voyait se dessiner les ébauches d’équations mathématiques et de thèses physiques. Réniflius était encore loin de connaître les débouchés de tant de calculs mais sentait qu’il touchait au but. Afin de prouver qu’ils ne se trompaient pas, il concevrait une nouvelle expérience et pour cela, il possédait Talianés. L’événement se renouvellerait au sein d’une expérimentation dédiée afin de reproduire ce qui n’avait été qu’un concours de circonstances, démontrer l’impensable et franchir la limite de l’impossibilité scientifique.
À la surface du crâne à la fine peau bleue qu’elle avait préalablement rasée avec amour, Talianés disposait, avec un luxe de précautions, les électrodes d’une machine réglée par ses soins sur les ondes mentales du savant. Ce cerveau hyper-céphale, comme tous ceux de sa race, déformait son crâne en un champignon disproportionné au-dessus du visage. Il s’ornait maintenant d’une multitude de capteurs.
Ils avaient passé plusieurs phases de sommeil et avaient fait l’amour avec passion. Au cours du dépouillement des données, des découvertes successives les avaient stimulés d’une excitation inextinguible. Mais à présent et pour les trois ou quatre cycles à venir, il leur faudrait beaucoup d’énergie pour construire ce temple d’équations, de théorèmes et les esquisses de plans prodigieux sans s’octroyer de repos.
Meïdar scrutait sa compagne, concentrée sur cette tâche qui lui coûterait la vie à la moindre erreur. Au travers de la blouse légère, il devinait les muscles puissants de l’Addhúloane jouer sans cesse. Ils contrôlaient ses gestes sans un seul tremblement. Elle était consciente des enjeux, de malheureux accidents concluaient la carrière des mauvais techniciens. La mort, que le scientifique risquait, paraissait délivrance comparée à la détresse légumineuse des savants rescapés aux brillants cerveaux rendus inutiles par une mauvaise utilisation de l’interface corticale. Pourtant, la conception d’une expérience de haute volée obligeait l’utilisation d’un extract-psy.
Talianés ne voulait pas perdre ce savant, cet amant exclusif, l’amour de sa vie, le révélateur de ses talents. Encore moins l’accompagner sur la route d’une longue agonie à régler des perfusions, le nourrir à la cuillère, essuyer un menton baveux, le laver et changer ses couches, sans cette réciproque compréhension silencieuse, sans les joies de l’expérimentation et de la découverte, sans leur contact physique où le plaisir naissait de l’incompréhension de leurs corps si dissemblables. Certains ne cachaient pas les sentiments ambivalents que leur couple inspirait. Meïdar et Talianés s’élevaient au-dessus de la ségrégation à l’unisson de leur philosophie, soudés par la soif de connaissance ; les entendre parler, se compléter à la perfection, les rendait sympathiques à toute personne prenant la peine de les connaître. Pour le moment, l’Addhúloane ne remarquait pas les yeux débordant de confiance et d’amour qui suivaient chacune de ses évolutions. Talianés ne voyait que la position exacte des nombreuses électrodes et dosait avec soin le gel transmetteur en fonction des endroits où elle les fixait.
La technicienne se recula pour s’assurer de la bonne transmission de l’information et de la sécurité du scientifique. D’une main, elle essuya son visage sombre couvert de sueur sucrée. Le stress avait été intense et long. Talianés n’oubliait jamais rien mais se blâmerait de la moindre erreur : la plus petite brûlure sur la peau bleu-pâle du scientifique l’insupportait et elle s’en accusait pendant des Tantièmes, choyant d’autant plus son amant.
– C’est bon ! fit-elle.
– Je n’en doute pas, dit-il détendu.
– Es-tu certain que le moment est optimal ? Que toutes tes équations sont équilibrées ? Ça va durer longtemps, je sonderai en profondeur et accroîtrai l’exposition aux risques d’anévrismes. Je refuse de recommencer cette séance de torture pour extraire de ton cerveau les calculs nécessaires.
– Une torture ? Tu sembles oublier que ces extract-psy augmentent tellement mes perceptions que j’en conçois un bonheur intense… une libération de mon intellect ! Cette chose que tu vas maîtriser et guider au fond des méandres de mon cerveau va faire de moi un être tout-puissant….
– Arrête ! je vais jalouser cette chose qui te donne plus de plaisir que moi.
Talianés laissa échapper le premier sourire d’un long cycle de préparation. La bonne humeur de son compagnon estompa la majeure partie de l’inquiétude. Les membres aux articulations surnuméraires du scientifique Epitémius se détendaient sous l’effet des drogues qu’elle avait pris soin de lui administrer. Après une rotation sur deux axes simultanés, le bras droit de Meïdar posa une main aux longs doigts agiles au creux des reins à la courbe séduisante. À chaque fois qu’il exécutait un tel mouvement, il la rendait folle. L’envie la saisit de se couler sur lui à l’image d’une rivière lovée entre des collines. Talianés se reprit instantanément.
– Ce n’est pas le moment, mon amour, souffla-t-elle, déçue. Nous avons du travail et le moment approche. Tu devrais détendre ton corps pour que ton esprit adoucisse les perturbations générées par tes sens. Concentre tes synapses sur les calculs que tu effectueras jusqu’à épuisement !
– Oui, tu as raison.
Meïdar glissa son bras aux articulations complexes dans le fauteuil suspendu qui s’adapta à la perfection à chaque courbe ou angle pour répartir uniformément la pression. Déjà, les membres ne répondaient plus aux ordres de son cerveau. L’esprit envahissait le corps. Les produits injectés mobilisaient chaque parcelle d’énergie pour nourrir le cortex.
– J’espère que tu as bien dosé le myrtéseth du respirateur.
Un sourire extatique joua sur les lèvres blanchâtres, exsangues.
– Mon seul but est de faire mon travail sans risquer ta vie.
– Pas d’amusement ?
– Cela viendra lorsque tu te seras entièrement remis de l’extraction psychique. Je te promets que l’on va se faire une cure de Myrté, pendant une boucle entière rien que pour fêter ça. Espèce de drogué, va !
Ces quelques mots inspirèrent des ombres de sourire aux coins de la bouche du savant. La technicienne aurait aimé tout interrompre et abuser une fois encore du long corps filiforme. Meïdar ne se maîtrisait plus, le retour rendu impossible par les procédures déjà enclenchées. Leur arrêt occasionnerait des retards de plusieurs cycles, des désagréments physiologiques et la colère du savant. Les équations mathématiques et les théories physiques défilaient sur l’écran de ses paupières et Réniflius ne verraient bientôt plus rien d’autre. Il s’immergeait progressivement dans un univers dont la mécanique quantique, l’arithmétique et la rhétorique balisaient les frontières.
Talianés fixa le masque en polymères transparents sur le nez et la bouche de l’Epitémius le plus génial de toute la création. Ils piaffaient à l’aube d’une découverte majeure pour leur peuple et les libertés que leurs ancêtres avaient gagnées pour eux. Et lui ne pensait qu’à une seule chose, se donner du plaisir. Dès la première inspiration, le cocktail savamment régulé siffla dans le masque. Les lèvres du scientifique se colorèrent de traces verdâtres, des filets rouges perlèrent aux coins des paupières, les billes noires de ses yeux roulèrent dans leurs orbites, des lueurs grisâtres passèrent et ondulèrent dans les orbes d’ébène. L’effet immédiat du myrtéseth provoquait des transes même chez les Epitémius incapables d’en invoquer de leur propre chef. La concentration de Meïdar s’intensifia et les volutes laiteuses virevoltèrent jusque sur les pupilles.
Talianés, d’un geste sûr, pianota sur une console pour modifier la balance des gaz. Bientôt, le travail d’extraction commencerait. Angoisse permanente, elle s’assurerait que Meïdar soit à son aise, qu’il ne souffre d’aucune carence et que son organisme ne soit pas plus sollicité que nécessaire.
A.J. Crime
12 Décembre 2015, 9:24
Joyeux anniversaire, Leia ! ;)
A.J. Crime
09 Décembre 2015, 17:38
Joyeux anniversaire, Notsil... ;)
A.J. Crime
05 Octobre 2015, 17:30
Afin que tout le monde puisse en profiter voici les liens vers les vidéos faites par FO autour de dispé !

Présentation vidéo de Dispergerum antecessors tome 1 et 2, en micro trottoir, vous excuserez les bafouillements et les imprécisions, l'enregistrement dans la rue sans préparation préalable... Pour les petits curieux, vous verrez de visu l'amas galactique de Virgo, comme il est observable depuis la terre.

Ici, nous vous proposons une immersion dans l'univers de ce roman et un élargissement sur l'ensemble de la saga. Traité avec un peu d'humour, vous en apprendrez plus sur Heilénia, les espèces qui la peuplent, son auteur et FO avec qui je collabore sur la série.

À diffuser autour de vous, svp, et pour la petite histoire, la dame à la fin est repartie avec les deux tomes sous le bras.

Merci à elle,

Ainsi qu'à tous les lecteurs qui m'ont fait confiance. Bonne découverte et rêvez bien.

Présentation générale :
https://www.youtube.com/watch?v=IFNG4H-IYHI

et plus particulièrement le tome1 :
https://www.youtube.com/watch?v=wMK4nlIpaCc
A.J. Crime
30 Septembre 2015, 16:48
joyeux anniversaire, Den, pour ton âge du christ !
A.J. Crime
24 Juillet 2015, 19:56
Au résultat, ce qu'il en ressort pour ceux qui ont émis des avis, c'est que le bruit couvre ma voix et que l'on m'entend mal... Après, c'est le principe du micro trottoir, alors à moins de filtrer le son pour faire ressortir ma voix... ;) peu de solutions envisageables.

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