Laissez-moi hurler, hurler, é, j'en ai marre, de l'informatique.... Sur l'air d'une chanson bien connue pour ceux qui la reconnaîtront !
Figurez-vous un peu que mon .doc de Dispergerum antecessor, roman marathon dont la fin m'échappe un peu plus à chaque page que j'écris. Est tellement lourd que rien que de déclencher la sauvegarde automatique fait planter le programme... Et me fait perdre (ipsofacto) ce qui se trouvait entre la dernière sauvegarde réussie et mon point d'écriture. J'ai ainsi recommencé plusieurs paragraphes depuis quelques jours...

GRRRRRRRR,
je suis en colère.

j'avais bien remarqué que sur mon portable la correction automatique des fautes d'orthographe décrochait régulièrement et que les sauvegardes automatiques prenaient de plus en plus de temps. Je commençais à me demander s'il ne m'arrivait pas la même chose que sur mon 486 (intel 486 pour ceux qui n'ont connu que les
"pintum" merci billou pour cette franche tranche de rigolade...) qui m'obligeait à découper mon premier roman "l'épée du pouvoir" en trois ou quatre morceaux pour que son traitement ne ralentisse pas trop la machine (schéma que j'ai appliqué à château d'Écosse aussi). Je doutais, je me questionnais, j'enrageais aussi mais non, il n'arrive plus après 900 000 caractères espaces compris à assurer les corrections orthographiques, grammaticales et les sauvegardes automatiques.
J'ai résolu le PB (I'll be back... No problémo... scharzy, si tu m'entends) j'ai placé mon chapitre final (15 pages word, déjà... enfin... c'est tout...
JE NE SAIS PLUS
mouaaarrgghhhh 
) Dans un document annexe, trop top la faute de goût... Bon allé, ce coup là je vais me coucher, j'en peux plus, je fatigue, je suis mort, je n'arrive plus à écrire plus loin que la phrase que je termine à chaque fois... C'est un peu la relativité de notre physicien préféré de génie.... plus je m'approche de la fin et plus elle s'éloigne de moi... j'ai comme l'impression de ne pas me trouver dans le même plan qu'elle, ou alors, nous plongeons tous deux vers l'horizon des évènements d'un trou noir galactique... ça tombe bien, c'est presque le sujet de ce roman.
Bon cette fois j'arrête de me plaindre mais laissez moi hurler, hurlé, é, .....