Le réchauffement global permet le développement de certaines bactéries magnétiques, tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir :
http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=5932
Même les bolides de courses sont compétitif en se mettant à l’électrique, la preuve avec une porche allemande :
http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=5931
http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=5905
http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=5898
Capter le dioxyde de carbone est aujourd’hui presque possible à l’aide de futur tour et d’une réaction chimique simple :
http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=5926
Un scooter à air comprimé, ça c’est bon pour l’environnement :
http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=5938
Le cerveau humain adulte montre des dispositions à s’auto réparer en créant de nouveaux neurones :
http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=5938
La météorologie comprend mieux les phénomènes tropicaux, cela induira des prévisions météo supérieures à la semaine pour l’Europe :
http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=5952
Oyez, Oyez, méfiez vous des dons de cordon ombilicaux. Le service publique, bien que pas encore suffisamment armé pour congeler tous les cordons viables (+ de 70 ml de sang contenu), sont les seuls à en garantir une conservation de qualité dans des conditions optimales et entièrement prises en charges. D’après Sciences et vie, de nombreuses sociétés indépendantes peuvent, contre quelques milliers d’euros, vous conserver votre cordon. Ils ne prennent bien évidemment pas en compte la quantité de sang minimale en compte, le transporte sur de longue distance dans des conditions de réfrigération non optimales. Le marché est juteux mais si vous désirez vraiment pouvoir utiliser les cellules souches contenues à l’intérieur, il vaut mieux sans remettre aux hôpitaux de France, quitte à devoir aller accoucher à l’autre bout de la France.
La chirurgie génétique commence à devenir une arme contre les maladies souvent orpheline et / ou génétiques. Les progrès sont flagrants et les traitements en cours de validation sur les humains pour quelques-uns d’entre eux.
Le recyclage de l’uranium va en passer par l’usage du CO2 supercritique (31° et 73 bars) pour capter les cendres du dit métal pour le libérer lorsqu’il repasse au stade gazeux.