Le monde connu vient de subir une profonde mutation, mais les mortels n’en ont pas conscience. L’humanité semble condamnée à refaire les mêmes erreurs, au désespoir des héritiers de Ji qui ont traversé les pires épreuves pour assurer la paix… et une nouvelle menace se dresse soudain, poussant les vétérans à reprendre armes et bagages pour s’embarquer vers une destination mystérieuse.
Les membres de la dernière génération, rassemblés loin des troubles, ne mesurent pas l’ampleur du danger. Ils ne connaissent rien du Jal, de Sombre, de l’âge d’Ys ou des prophéties de l’Adversaire… Ils auraient dû être les premiers à vivre dans l’insouciance : le destin va en décider autrement. En affrontant la douleur, la confusion et la peur, chacun d’eux va devoir trouver sa place dans le drame qui frappe leurs familles à travers le temps. Et défendre encore le secret dont ils sont désormais les derniers gardiens…
Et bien, voilà, comme Notsil l’avait prévu, je n’ai pas pu résister à l’envie de lire le premier tome de la troisième partie de la saga de Ji^^’
Heureusement que je n’avais rien parié ;p
Enfin, que dire si ce n’est que le charme opère toujours autant dans ce bouquin. L’histoire est mystérieuse à souhait, les personnages tous plus charismatiques les uns que les autres (j’ai une petite préférence pour Josion^^), tous ayant un background plutôt bien fourni et un caractère qui les rend attachants.
Certes, on se retrouve à nouveau dans la même situation que leurs aïeuls quelques années plus tôt, mais Pierre Grimbert à réussi à donner à cette nouvelle histoire un attrait plutôt inattendu.
Une fois de plus, je suis conquit par sa façon de raconter les histoires. C’est avec une fébrile impatience que j’attendrais les tomes suivants car, avec les révélations faites à la fin du roman, de nouvelles questions se posent !
La mort est un présent, que l'épée peut délivrer. La mort est un vrai chant, que l'épée peut entonner |